• La recherche du grand gibier blessé

    Le chasseur doit avoir un comportement irréprochable après son tir et suppose donc qu’on a bien attendu quatre heures avant de débuter toute recherche au sang.

    L’échelle des difficultés.

    • Degré 1 : Recherche simple, pour jeune chiot, moins de 8 mois.
    • Degré 2 : Recherche facile, pour un jeune chiot.
    • Degré 3 : Recherche plus difficile, chien expérimenté.
    • Degré 4 : Recherche difficile, chien travaillant à la longe confirmé et éventuellement un chien forceur, mordant et rapide.
    • Degré 5 : Recherche difficile, chien très expérimenté avec un chien forceur.
    • Degré 6 : Recherche extrêmement difficile, chien grand spécialiste, avec chien forceur. Attelage avec de grandes expériences.

    La recherche du grand gibier blessé

    Le chasseur doit avoir un comportement irréprochable après son tir et suppose donc qu’on a bien attendu quatre heures avant de débuter toute recherche au sang.

    L’échelle des difficultés.

    • Degré 1 : Recherche simple, pour jeune chiot, moins de 8 mois.
    • Degré 2 : Recherche facile, pour un jeune chiot.
    • Degré 3 : Recherche plus difficile, chien expérimenté.
    • Degré 4 : Recherche difficile, chien travaillant à la longe confirmé et éventuellement un chien forceur, mordant et rapide.
    • Degré 5 : Recherche difficile, chien très expérimenté avec un chien forceur.
    • Degré 6 : Recherche extrêmement difficile, chien grand spécialiste, avec chien forceur. Attelage avec de grandes expériences.
    La recherche du grand gibier blessé

    Tir de boutoir (6) :

    Seul cas où l’on peut laisser les chiens poursuivent l’animal blessé. Le tout est de savoir où il est blessé ! et qui prend cette initiative, conducteur des chiens courants ou le posté !!!. certain conducteurs ne le conseil pas, il faut connaître son chien.

    Réaction de l’animal au coup de feu : il est renversé par la balle. Le temps qu’il passe ainsi, allongé par terre dépend de l’endroit où sa gueule a été touchée : Et a peine relevé, il s’enfuira très vite.

    A l’anschuss : dents, esquilles osseuses, morceau de langue, nourriture et sang.

    Stratégie à adopter : Au début du sang clair, pulvérisé. Le boutoir est la partie du corps qui saigne le plus. L’attelage peut faire beaucoup de KM. L’animal périra lentement. Insister sur la recherche dès le début. Une seule chance ne se présente pour le tirer au ferme.

    La recherche du grand gibier blessé

    Tir de patte (4) :

    Réaction de l’animal au coup de feu : Il crie de douleur, car un os a été touché. Selon l’endroit de la patte et la patte. La patte se balance librement.

    A l’anschuss : esquille osseuse, os creux, morceaux de venaison et sang clair.

    Stratégie à adopter : si la balle a touché le haut d’une patte avant, et fracassé le sternum il se couche dans une reposée 500 0 1000 M de fuite.

    Balle basse, la fuite est de plusieurs KM.  Il se déplace dans des endroits plus faciles. Il traverse les ruisseaux au lieux de sauter. D’une patte antérieure, le poids étant devant, il se couchera plus vite, lâcher le chien, et si possible le tirer…

    Il évite de sauter par dessus un arbre couché, et ne saute pas un ruisseau, se déplace  sur des coulées.

    La recherche du grand gibier blessé

    Tir de venaison à l’arrière des cuissots (3 à 5) :

    Réaction de l’animal au coup de feu : s’affaisse au niveau de l’arrière-trin, mais réaction pas trop visible au galop.

    A l’anschuss : de la venaison et du sang.

    Stratégie à adopter : Le sang se rarifie au fil de la recherche. L’animal se comporte comme une balle de patte. Recherche sur des KM. Il reste très agile attention, la balle n’a pas touche d’organe vital, ne pas hésiter à lâcher le chien pour un ferme et le bloquer.

    La recherche du grand gibier blessé

    Tir de foie (2 à 3) :

     Réaction de l’animal au coup de feu : Il s’effondre et s’enfuit immédiatement.

    A l’anschuss : sang foncé, morceaux de foie. Si ces derniers sont visqueux et qu’ils s’effilochent le foie est touché en plein fouet, dans ce cas on trouve du contenu stomacal. Si l’on trouve qu’une fine extrémité du foie, l’extrémité du foie est touché.

    Stratégie à adopter : selon la végétation, le foie frappé en plein fouet, l’animal est à 400 _ 800 m. Après quatre heures du tir l’animal sera mort.

    Si le foie n’est touché qu’à une extrémité, pas de dommage abdominale, distance de fuite, 2 à 4 KM.

    Au début beaucoup de sang, et diminue au fur et à mesure de l’avancement. Les végétations sont touchées en partie haute. Mais cependant il se reposera nous pouvons le retrouvé, et le mettre au ferme.

    Beaucoup d’odeur, le sortie risque de se boucher.

    La recherche du grand gibier blessé

    Tir de poumon (1) :

    Réaction de l’animal au coup de feu : il s’enfuit au grand galot.

    A l’anschuss : sang clair et bulleux. Parfois aussi de petites esquilles d’os des côtes.

    Stratégie à adopter : Blessés ainsi le sanglier ne parcourent guère plus de 40 à 50 m. Sur place beaucoup de sang, l’animal se cogne contre les arbres et des végétations buissonnantes, sont esprit a perdu de sa lucidité. Si le sanglier ne se trouve pas dans un rayon de 200 m. reprendre la recherche et de nouveau contrôler, le calibre de la balle peut être trop faible, laisser passer quatre heures, l’animal sera mort des suites des graves blessures internes.

    La recherche du grand gibier blessé

    Tir d’abdomen (3 à 5) :

    Réaction de l’animal au coup de feu : S’affaisse brièvement et effectue une ruade vers l’arrière. Mais ce n’est pas systématique.

     A l’anschuss : de la bouillie stomacale ou intestinale.

    Stratégie à adopter : Il se couchera très rapidement s’il reste tranquille. Pourchassé trop tôt il peut se relever, aucun organe vital n’est touché.

    La bouillie abdominale favorise la recherche.

    La recherche du grand gibier blessé

    Tir d’apophyse (6) :

    Réaction de l’animal au coup de feu : Il s’effondre sur place. Son système nerveux central est paralysé secondes ou minute il repart groin au sol en se trainant. Le terminer soit a à la dague ou au fusil.

    A l’anschuss : Poils coupés, soies, éventuellement un peut de graisse très peu de sang.

    Stratégie à adopter : Recherche difficile, aucune reposée, si on y arrive, lâcher le chien pour le tenir au ferme, et le bloquer sur place. (Passage au dessous d’un grillage), sang sur végétation haute.